Sortir des ornières

Les habitudes tuent…
Une fois l’habitude installée,  sensée exister pour économiser energie ( huile de coude )diminuer le travail et nous apporter plus de confort.  Dont celui de ne plus se casser la tête,  de s’impliquer dans la stabilité de son lieu de vie.
Bref, une carrote devant l’âne.
Car une part importante de notre liberté et donc notre capacité à en savoir plus sur nous-même et notre environnement se met en stand by car seuls les troubles, le danger imminent ou une cassure dans son rythme de vie ou une situation inconnue ou ingérable et mal gérée vous éveillera votre reflex de survie à réévaluer le sens de sa propre vie ou trop englué dans le système bien calculé pour cette phase vous laisseront vous enliser dans une incompréhension générale et une impuissance à corriger les erreurs commises par des gens puissants et sans scrupules qui ont fomenté depuis longtemps déjà un contrôle des désirs amplifiés par des tonnes de publicité ou moyen de propagande qui amplifier les besoins économiques de chaque ménage. Et à cela, ils complètent par l’obsolescence de la plupart des produits construit dans leurs usines et sous leurs ordres.
Si vous voulez gardez le contrôle de votre vie et ne pas être un instrument de leur richesse, gardez les pieds sur terre tout en ayant des attentes réalistes,  se donner le temps de faire les choses bien et avec plaisir et à votre rythme vous aurez ainsi mis en  place l’équation correctrice.
Mais détachez vous de votre addiction de la matière en bouleversant toute vos habitudes. 
Rationer toutes vos consommations ou non essentielles ou superflues.
Organisez-vous et développer les qualités plutôt que les défauts.
Même si c’est choisir la difficulté.
La victoire n’en sera que meilleure.
Inversez le shema imposé par un endoctrinement subtil,  octroyez-vous plus de temps personnel et trouvez vous une aide pour votre travail avec un stagiaire ou un bénévole travaillant sous statut d’associations collaboratrice.
L’esprit et le corps doivent arriver à ne faire qu’un.
Ainsi libéré des chaînes qu’on vous imposait de par la trahison de l’état travaillant pour l’élite et contre les plus faibles, ses citoyens.
Rassembler vous car peu à peu vous arriverez à synchroniser tout vos sens et respirerez au rythme de la terre, notre mère nourricière et peut-être nous serons nous libérer et arriverons à imposer aux coupables l’exécution de leurs devoirs indissociable des droits dont ils ont abusés.

Ces puissants qui veulent tout nous prendre

Je hais l’argent. Même si je retire l’argent de la banque après avoir payé les factures basiques. Cet argent qui reste n appartient pas aux banques. Il est le lien pour échanger nos produits a l’échelle humaine ou artisanaux pour retrouver l esprit d’échange équitable et solidaire en veillant à l’équité des échanges. Nul n’a le droit d’acquérir plus de profits que l’autre dans la transaction. L’appât du gain est vil. Le pouvoir monte à la tête comme les bulles du champagne. Car si la vie est nulle sans bulles, trop de bulles nuit comme tout excès.
A boire et à manger car la carte bancaire à une utilité administrative. L’argent un rôle d’échange équitable qui doit offrir la même valeur reçue lors du troc ainsi évalué. Vu

Démonstration de force par ceux sensé nous protéger

Cette page pour pointer du doigt les erreurs flagrantes et les omissions de droit, dû en tant que citoyen, travailleur ou pas, en mesure de prononcer sa volonté, de profiter de toutes les possibilités humaines, en droit d’agir pour faire valoir son existence non pas comme un esclave n’ayant droit qu’à acquérir un bien ou un droit sous conditions monnayable mais comme un individu apte à développer,faire valoir,et faire profiter chacun de son labeur quel qu’il soit ainsi que de jouir de tous les droits inhérents à notre condition matérielle et faire valoir son désir d’équité. De donner autant que recevoir s’il s’en peut, de pouvoir prétendre aux loisirs les plus sains possible en rapport avec l’énergie mise à s’investir et interagir avec la société et ceux qui la fréquente. Nul ne vit égal à d’autres mais tous peuvent y prétendre. Excepté au jour de la naissance où tous crions pour avoir cette première respiration, ce premier geste dans l’égalité, respirer l’oxygène nécessaire à notre survie et première drogue dont on ne sait se passer. Le reste de la vie, on la passe à se battre pour obtenir un peu de quiétude, de paix en dépit de la volonté de certains d’en manipuler d’autres. Quant au travail, il se doit de s’adapter à l’individu et de ne servir que juste cause et inaliénable raison d’être. On travaille pour vivre. On ne vit pas pour travailler. Le travail fait partie d’un droit, d’un devoir que chacun, en fonction de sa qualité, peut estimer avoir le mérite de l’exécuter. Après le travail, tous sont en droit d’attendre des activités de qualités et à portée de mains afin d’évacuer ses frustrations, ses énervements, de pouvoir agir dans le but, non pas de produire de la quantité mais de pouvoir s’exprimer dans le loisir de son choix. La société ne semble plus apte à développer des activités et produits économiques de nécessité et de qualité. Elle fuit ses devoirs en s’appuyant sur des droits dont elle s’est accaparé et protège plus ses avoirs que la qualité de vie de chacun. L’état existant bien pour gérer l’organisation des biens et des gens dans un lieu dit. Et de favoriser les créations et les échanges destinés au bien-être de tous, sans exception. Sur cette page, j’ai voulu mettre les absurdités rencontrées dans la vie en évidence et principalement dans nos sociétés, et leurs trouver une parade afin de rectifier le tir, oh combien néfaste. De là l’appellation « ergothérapeutique » car appelant à la réadaptation des actes et de l’état de notre vie journalière. Délaissant la passivité journalistique devant des situations au devenir plus important que leur consécration médiatique. C.V